Le courage, c'est de comprendre sa propre vie ...
Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille ...
Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.
Jean Jaurès
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Avant que tu ne parles
on doit pouvoir lire sur
ton visage
ce que tu vas dire.
Pour ce qui est de l'avenir,
il ne s'agit pas de le prévoir
mais de le rendre possible.
.............................................
(Antoine de St Exupéry)
A force de temps,
les questions meurent
sans donner de réponses.
... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ...
(Paul Cosquer)
Désires ce que tu possèdes,
détaches-toi de ce que tu possèdes
....................................
maintenant tu es libre.
Juste un clin d'oeil
à mon "Ptit ours"
le 04/01/06
Jour et nuit, blanc et noir, bien et mal, ici et ailleurs, aimer et haïr ...
parce que rien n'existe sans son contraire ...
Un espace de vie où vivent et s'harmonisent sans se contredire, sans se contrarier, sans contrainte ... tous les contraires ...
Un espace de mots, de regards, de tout et de rien ... de coups de coeur et de coups de gueule ... les miens, les vôtres pour en faire les nôtres ...
Le courage, c'est de comprendre sa propre vie ...
Le courage, c'est d'aimer la vie et de regarder la mort d'un regard tranquille ...
Le courage, c'est d'aller à l'idéal et de comprendre le réel.
Jean Jaurès
Attention !
Une épidémie mondiale est en train de se propager à une allure vertigineuse.
L O.M.B. (Organisation Mondiale du Bien-être) prévoit que des milliards de personnes seront contaminées dans les dix ans à venir. Voici les symptômes de cette terrible maladie :
- Tendance à se laisser guider par son intuition personnelle plutôt que dagir sous la pression des peurs, idées reçues (préjugés) et conditionnements du passé,
- Manque total dintérêt pour juger les autres, se juger soi- même et sintéresser à tout ce qui engendre des conflits,
- Perte complète de la capacité de se faire du souci, (cela représente lun des symptômes les plus graves),
- Plaisir constant dapprécier les choses et les êtres tels quils sont, ce qui entraîne la disparition de lhabitude à vouloir changer les autres,
- Désir intense de se transformer soi-même pour développer ses potentiels de santé, de créativité et dAmour,
- Attaques répétés de sourire, ce sourire qui dit : merci... et donne un sentiment dunité et dharmonie avec tout ce qui vit,
- Ouverture sans cesse croissante à lesprit denfance, à la spontanéité, à la simplicité, au rire et à la gaieté,
- Curieuse attitude (observé chez de nombreux contaminés) de sAimer et de se Pardonner à soi-même et aux autres !
Nous mentionnerons aussi que ces créatures semblent ne plus pouvoir mentir !
Enfin, il faut absolument que vous sachiez que cette maladie est terriblement Contagieuse !
Au moindre contact dun sourire, vous risquez, vous aussi dy succomber...
Auteur inconnu
Il suffisait de rien
D'un soleil libertin
D'un baiser sur ta joue.
Se rencontrer n'est rien
Du hasard et c'est tout.
Il suffisait, tu vois
D'un demain incertain
D'un jour qui voyait naître
Nos déshabitudes.
Il suffisait en fait
De nos deux solitudes
Juste un rien d'imprévu.
Il suffisait de toi
Quelques heures et déjà
Nous partagions le monde.
Matthias Vincenot
Si ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d'eux,
ils en diraient bien davantage !!!
Sacha Guitry
Expérience est le nom que chacun donne à ses fautes.
( Oscar Wilde )
Notre sagesse vient de notre expérience
et notre expérience vient de nos bêtises.
(Sacha Guitry )
Paon ! cest le départ.
Cerfs partis pour un tour.
Voici le taons à battre.
Déjà les taons
Veulent piquer les paons
Champions de tous les temps.
A quoi ça sert ?
Les cerfs sont loin devant
Un paon qui sennuyait,
Venu passer le temps,
Se retrouve devant
Mais le taon passe :
Il remet le paon Dule à lheure.
Quand le serpent fakir
Qui a le cerveau lent
Surprend les cerfs volant
Son tapis de fakir,
Il siffle cerfs, paons, taons,
Qui senvolent pourtant
Et se moquent de lui.
Serpentant
Loin du tapis volant
Notre serpent senfuit.
Au tapis le cerf pend
Puis un autre, et les faons
Crient à leurs cerfs parents :
« attention léléphant ! »
Ils sonnent lolifant
Pour sommer léléphant
Dépargner léquipage.
Mais voilà le carnage !
Et le serpent tapis
Sous son tapis persan
Pâtit tout aplati
Sous le gros éléphant.
Texte de Paul Cosquer
Extrait de "Drôles d'animots"
LE JARDINIER D'AMOUR - XXXV
De peur que je n'apprenne à te connaître trop facilement, tu joues avec moi.
Tu m'éblouis de tes éclats de rire pour cacher tes larmes.
Je connais tes artifices.
Jamais tu ne dis le mot que tu voudrais dire.
De peur que je ne t'apprécie pas, tu m'échappes de cent façons.
De peur que je te confonde avec la foule, tu te tiens seule à part.
Je connais tes artifices.
Jamais tu ne prends le chemin que tu voudrais prendre.
Tu demandes plus que les autres, c'est pourquoi tu es silencieuse.
Avec une folâtre insouciance, tu évites mes dons.
Je connais tes artifices.
Jamais tu ne prends ce que tu voudrais prendre.
Rabindranath Tagore
O combien nous ignorons la place que nous occupons dans l'esprit ou le coeur d'une connaissance...
O combien les autres ne peuvent également qu'ignorer, et surtout ne peuvent nous contraindre à leur laisser plus ou moins de place...
Jardins que nous peuplons selon notre choix de terre en jachère, de graines en devenir ou de fleurs dejà cueillies dont l'éclat n'est qu'un souvenir...
Maîtres de notre monde, de notre terre... peut-être pas tant que ça... moi j'aime arroser ma terre de nostalgie douce, de rêves nourriciers, une saison après l'autre... jardin, terre, univers sans limite, à explorer, pour oublier les absences stériles...
Val ...
Merci Val ...
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A montrer sa faiblesse, l'autre s'y engouffre pour la rendre encore plus grande ...
A. Comte-Sponville |
Il y a des matins
Tout exprès pour le départ de ceux qui veulent oser.
Des matins où le jour arrive si lentement
que cest à peine si lon distingue les lueurs laiteuses qui imprègnent les nuages.
Ces matins-là ne portent pas despoir.
Ils tirent péniblement, de derrière de lointains invisibles,
une aube triste et sans vie.
Ce sont des matins sans oiseaux,
où la seule vie du ciel est de pluie et de vent.
Tout se déchire lentement,
comme si le jour était trop faible pour effacer ce qui reste de nuit.
Et cest parce que, dans ces matins-là,
il faut que des hommes fabriquent eux-mêmes lespoir à partir de rien,
que seuls ceux qui sont forts oseront sembarquer.
Mais ceux-là iront loin,
qui portent en eux une aube plus lumineuse
que celle qui sefforce déclairer le fleuve
Ils iront tout le jour, sans se lasser,
à la rencontre dun crépuscule dont ils souhaiteront prolonger la vie
jusquau cur de la nuit.
Bernard Clavel« Le Seigneur du Fleuve »
Les caresses des yeux sont les plus adorables ...
Les caresses pour les yeux sont les plus douces ...
elles vont droit au coeur sans intermédiaire aucun...