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  • Lunaysol

Mots de passage

Avant que tu ne parles

on doit pouvoir lire sur

ton visage

ce que tu vas dire.

*********************

 

 

Pour ce qui est de l'avenir,

il ne s'agit pas de le prévoir

mais de le rendre possible.

.............................................

(Antoine de St Exupéry)

 

A  force de temps,

les questions meurent

sans donner de réponses.

... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ...

(Paul Cosquer)

 

Désires ce que tu possèdes,

détaches-toi de ce que tu possèdes

....................................

maintenant tu es libre.

 

 

 

 

Juste un clin d'oeil

à mon "Ptit ours"

 le 04/01/06

Jour et nuit, blanc et noir, bien et mal, ici et ailleurs, aimer et haïr ...

parce que rien n'existe sans son contraire ...

Un espace de vie où vivent et s'harmonisent sans se contredire, sans se contrarier, sans contrainte ... tous les contraires ...

Un espace de mots, de regards, de tout et de rien ... de coups de coeur et de coups de gueule ... les miens, les vôtres pour en faire les nôtres ...

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Les mots de ...

7 mai 2005 6 07 /05 /mai /2005 00:00

On dit parfois que notre société est déresponsabilisante, qu’elle incite à l’assistance. Mais depuis peu, le contraire est tout aussi vrai. On ne cesse de répéter à chacun qu’il est l’acteur de sa vie, qu’il doit se prendre en charge : l’enfant à l’école, le salarié pour sa carrière, la femme pour la beauté de son corps, le senior pour faire reculer la vieillesse. Mais on y va à tâtons, car c’est à chacun de trouver sa voie et il n’y a ni vérité générale ni certitude absolue … sauf une l’individu hédoniste et insouciant doit laisser la place à la personne consciente de ses responsabilités. Mais ce programme est bien difficile à tenir.

Il faut du courage tant pour les choix essentiels de l’existence que dans les multiples actes du quotidien. Bizarrement, c’est pour ces derniers qu’on en manque souvent le plus. « Mon pire ennemi, c’est moi » proclame une publicité pour une eau minérale. Il y a la tentation permanente de laisser tomber ses bonnes résolutions ou, à l’inverse, celle de s’endurcir, au point de devenir cynique, de se croire supérieur lorsque l’on pense tout concilier.

Il faut d’abord bien se connaître pour s’aimer et aimer ses proches. C’est une philosophie de la vie qu’il faut redécouvrir, dont l’essentiel est de toujours espérer dans le plus modeste des efforts, sans savoir à l’avance s’il sera couronné de succès.

« Le courage de la goutte d’eau, c’est qu’elle ose tomber dans le désert » dit Lao She. Aucune d’entre elles n’est inutile …

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6 mai 2005 5 06 /05 /mai /2005 00:00

Le Lion Blanc

200 lions blancs dans le monde tous en captivité !

Seul site (en anglais) trouvé à ce jour pour la défense et la survie du lion blanc:

www.whitelions.co.za

 

 

 

Extraits d'un article paru dans "Madame Figaro" n° 1068 du 12.02.05 et quelques recherches sur internet.

 

Linda Tucker a tiré trait sur sa carrière de mannequin pour se consacrer à la défense d'une espèce rarissime et menacée: le lion blanc. (pour l'anecdote).

Linda est un vieux prénom africain qui signifie "protéger" (re-anecdote).

A ce jour, il n'existe plus aucun lion blanc à l'état sauvage ! Le dernier spécimen "libre" a été repéré en 1991 à Timbavati près du Parc National de Kruger (Afrique du Sud). Il faut aller dans des zoos pour admirer sa robe immaculée et ses yeux dorés (ceci n'est pas un encouragement!).

Ou bien dans les nombreuses fermes de reproduction sud-africaines où des lions entassés dans des cages attendent d'être froidement abattus par des chasseurs en mal de sensations et en recherche de trophées.

Certains touristes sont prêts à payer jusqu'à 150000 €uros pour rapporter une peau de lion blanc !!!

"A part les chasseurs, personne ne s'intéresse à ces animaux, regrette Linda Tucker. Même pas les scientifiques, qui les considèrent comme des lions dégénérés, atteints d'albinisme, incapables de survivre en liberté. Ils ne sont pas albinos mais porteurs d'un rarissime gène récessif, comme le tigre blanc ou l'ours polaire."

Depuis 10 ans, Linda est la seule à plaider la cause de ces précieurx animaux.

 

 

 

Centre de reproduction

Linda et Marah 

Marah et ses petits

Les objectifs de Linda: protéger cette espèce en voie de disparition et la réintroduire dans le monde sauvage.

En 2003, elle remporte une petite victoire lorsque le gouvernenent se prononce pour l'interdiction de ce type de chasse (mais la loi n'existe toujours pas).

L'autre grand chantier de Linda, qui consiste à relâcher ces grands fauves dans leur habitat naturel l'obsède depuis qu'elle a posé ses yeux sur Marah, une petite lionne née un 25 décembre 2000. "J'ai vu Marah le lendemain de sa naissance. Quand elle s'est blottie contre moi, je lui ai promis de lui offrir sa liberté un jour" malgré qu'elle soit née dans un centre de reproduction et que son propriétaire soit bien décidé à la vendre au plus offrant.

A l'âge de deux ans, Marah est vendue au zoo de Johannesburg pour rejoindre un grand mâle blanc.

En novembre 2003, elle donne naissance à de magnifiques lionceaux au pelage immaculé.

Linda engage alors un combat et d'âpres négociations avec le zoo pour une adoption. Au bout de cinq mois, un accord est conclu, Marah et sa descendance pourront goûter à la liberté.

 

    

  

              

 

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6 mai 2005 5 06 /05 /mai /2005 00:00

Lorsqu'à ta gauche il y a un "e" et à ta droite un "p"

c'est que tu es au milieu de "nulle part"

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6 mai 2005 5 06 /05 /mai /2005 00:00

Ton silence n'a pas dit.

Ton silence n'a pas parlé.

Tu n'as pas dit grand bruit.

Ton silence est là qui navigue profond.

Ton silence est là, un soudain crépuscule.

Un gouffre ingouvernable.

Paul Cosquer

"La vie au bout de soi"

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4 mai 2005 3 04 /05 /mai /2005 00:00

ESPERAR

Esperar es una prueba,
es tendencia a madurar,
comprender que lo que esperas,
puede hacerse realidad.

Esperar es una fuerza,
saber que el tiempo ha de pasar,
entendiendo que las cosas,
vienen cuando han de llegar.

Esperar es mirar el mundo,
percibir que todo tiene un ritmo,
es fortalecer el alma,
no perderte en el abismo.

Esperar, es no perder lo encontrado,
ahí está, pero no haz de poseerlo,
hasta que el tiempo indique lo contrario,
cuando madures y lo asumas con anhelo.

Esperar, es saber que lo que deseas,
es más fuerte que el impulso cotidiano,
descubrir la importancia del objeto,
y la calma, que te lleva a disfrutarlo.

Esperar es segura complacencia,
es saber que cuando llegue lo esperado,
disfrutarás la alegría de aquella espera,
y vivirás a plenitud con lo logrado.

 

Pablo Cerda

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4 mai 2005 3 04 /05 /mai /2005 00:00

La parole ne m'intéresse que lorsqu'elle est le contraire d'une protection : un risque, une ouverture, un aveu, une confidence ... J'aime qu'on parle comme on se déhabille, non pas pour se montrer, comme croient les exhibitionnistes, mais pour cesser de se cacher ...

A.Comte-Sponville

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4 mai 2005 3 04 /05 /mai /2005 00:00

On n'espère que ce qui ne dépend pas de nous;

On ne veut que ce qui en dépend.

Nul n'espère ce dont il se sait capable ...

 

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4 mai 2005 3 04 /05 /mai /2005 00:00

 

Ce serait la journée du sourire

Non officielle, non décrétée.

Pas un sourire du dimanche

dans son habit du dimanche.

Pas un sourire de semaine,

demi-sourire à peine.

Pas un sourire de vacances.

Pas un sourire en dedans.

Mais un sourire à pleines dents.

Sourions simplement !

Ce sera le pays du sourire...

 

 

 

 

 Extrait de "Drôles d'animots"

 

Texte Paul Cosquer

(http://site.voila.fr/taverne_des_poetes)

Dessin Valérie Vidal

(http://univerval.free.fr)

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3 mai 2005 2 03 /05 /mai /2005 00:00

Certaines personnes prennent de la place dans nos vies

par leur "absence présente" et leur "présence absente"

sans que rien ne puisse y changer quoi que ce soit !!!

Sofie

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3 mai 2005 2 03 /05 /mai /2005 00:00

Un jour, un vieux professeur fut engagé pour donner une formation sur La planification efficace de son temps. Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait qu'une heure pour "passer sa matière ".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4 litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot.
Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein?".
Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?".
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège.
L'un d'eux répondît: "Probablement pas!".
"Bien!" répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.
Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein?".
Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent :
"Non!".
"Bien!" répondît le vieux prof.
Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience? "

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".

"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie?"
"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"

"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.

Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :
"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.

Auteur inconnu

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