Tu les comptes, ces heures ?
Moi, je les connais par cœoeur.
Puis je les oublie.
Trop nombreuses, elles m’'ennuient

Tu les entends, ces secondes ?
Je les écoute ces ondes.
Puis elles disparaissent, perdues
dans un bruit sourd continu.

Tu les sens, ces années ?
Moi, je les ai déjà oubliées.
Puis elles reviennent d'’un coup
et dans mon coeœur font des trous.

Tu les vois, ces minutes ?
Je les accompagne dans leur chute
Puis à nouveau, elles recommencent
Moi, je reste en bas et je pense :

Le temps entre mes doigts s'’amuse.
Toujours masqué, souvent il abuse.
Se jouant de mon âme pour son bon usage
il est le plus fort et c'’est bien de son âge.

::: Philistin Panger :::

Bon allez … je joue le jeu …

(merci Fabrice … hum !)

1) combien de livres lisez vous par an ?

            Euh, dix en moyenne mais ça dépend des livres et du temps et de plein d’autres choses !

2) quel est le dernier livre que vous ayez acheté ?

            Photoshop CS pour les nuls !!!

3) quel est le dernier livre que vous ayez lu ?

            Célébration du quotidien (par Colette Nys-Mazure) j’adoooore !

4) citez cinq livres qui ont compté pour vous ou que vous avez apprécié :

            Celui que je viens de lire !

            Tus zonas erroneas (Dr Wayne et W. Dyer)

            Se libérer du connu (Krishnamurthi)

            Le chemin le moins fréquenté (Scott Peck)

            L’amour la solitude (André Comté-Sponville)

            Et plein d’autres …

5)A qui passez vous le relais ?

Angeline

Laulau

« Longtemps j’'ai cru qu'’il suffisait d’'aimer … pour l’'être en retour.

Longtemps j’'ai souffert. Souffert de la méprise, souffert de cette attente fébrile que personne ne venait apaiser.

Pour moi, aimer et être aimé allaient ensemble, indissociables, inconcevables l’'un sans l’'autre ; séparés, ils devenaient source d’'angoisse, de fuite.

Et la vie s’'est chargée de m’'éduquer !

Aimer, c’'est oser s'’abandonner sans peser.

C’'est offrir à l’'autre le souffle qui lui manque pour avancer sur les chemins du monde.

C’'est le couronner pour qu'’il aille vers le meilleur de lui même, aimer c'’est ne plus avoir peur.

Etre aimée, c'’est n'’être jamais mendiante d'’un mot d’'amour, d’'un geste tendre, d’'un regard attentif et lumineux.

C'’est être attendue, accueillie, espérée, sans jamais être enfermée. »

Sofie

EL ANGEL DE LOS NIÑOS.

Cuenta una antigua leyenda que un niño estaba por nacer…y le dijo a Dios: “Me dicen que me vas a enviar mañana a la tierra, pero… ¿Cómo viviré tan pequeño e indefenso como soy yo?.

DIOS: le contesta: “Entre muchos ángeles escogí a uno para ti que te estás esperando… él te cuidará”.

NIÑO: “Pero dime, aquí en el cielo no hago mas que cantar y sonreír y eso basta para ser feliz”

DIOS: “Tu ángel te cantara, te sonreirá todos los días y tu sentirás su amor y serás feliz”

NIÑO: “¿Y que entenderé cuando la gente hable si no conozco el extraño idioma que hablan los hombres?”

DIOS: “Tu ángel te dirá las palabras más dulces y mas tiernas que puedas escuchar y con mucho cariño y paciencia te enseñará a hablar”

NIÑO: ¿Y que haré cuando quiera hablar contigo?

DIOS: “Tú ángel te juntará las manitas y te enseñará a orar”

NIÑO: “He oído que en la tierra hay hombres malos, ¿quien me defenderá?

DIOS: “Tú ángel te defenderá a costa de su propia vida”

NIÑO: “Pero estaré triste porque no te veré más”

DIOS: “Tú ángel te hablará siempre de mi y te enseñará el camino para que regreses a mi presencia, aunque yo estaré siempre a tu lado”.

En ese instante una gran paz reinaba en el cielo pero ya se oían voces terrestres… y el niño presuroso repetía suavemente…” Dios mío ya me voy, dime su nombre, dime, como se llama mi Ángel”, a lo que Dios le respondió:

“Su nombre no importa, tú solo le dirás MAMÁ”.

Quand la passion se raisonne et la raison se passionne, alors la raison déraisonne… dans de trépidantes intrépidités du corps et de l’esprit, d’émouvantes mouvances au gré des non ressentis, des sentiment enfouis ; des ébats qui font débat dans les pensées pesées.

Un manque manqué, ranger pour un temps ce temps dérangé, sans danger.

Incompatibilité compatible pour des jeux dont les règles sont établies…

Recul avancé dans cette avancée qui recule…

Un peu de temps volé au temps, autant de tant sans plus…

Et si le retour s’est parfois voulu amer, il est aujourd’hui des mers dont le retour appartient déjà à hier...

de ceux qui n’attendent plus un demain,

plus de deux,

plus de buée dans les yeux.

(...)